• L’intolérance

     

     

    C’est refuser la différence.
    Croire en une supériorité altérée.
    A la folie d’un égo démesuré.
    C’est l’indifférence.

    Ne pas être capable d’apprécier,
    Le monde et sa diversité.
    Ne plus voir que soi,
    Ne croire qu’en sa foi.

    Bannir de son esprit.
    Toutes les formes de vie.
    Grand ou petit, méchant ou gentil.

    Ne pas supporter,
    Une couleur qui diffère,
    Un esprit en colère.
    Ou bien encore une façon d’exister.

    Si l’intolérant osait y regarder,
    Si il se contemplait sans se cacher.
    Il prendrait conscience de ses différences.
    Et nierait son existence.

    Car nul ne peut se dire parfait.
    Que l’on soit moche ou laid,
    fumeurs ou drogués, amoureux ou délaissé.
    La seule vérité qui reste à garder.

    C’est que c’est cette planète, qui nous a porté.
    Nous avons tout à partager.
    Nous sommes embarqués sur cette terre.
    Dans la même grande galère.

    Alors plutôt que de chercher à se battre.
    Mieux vaut découvrir les raisons de s’ébattre.
    Un sourire peut faire naître une amitié.
    L’intolérance ne peut rien édifier.

     

     


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    Question de Conscience

     

     

      Tu conduis ta voiture dans une nuit de tempête terrible.
    La visibilité est presque nulle, les vents sont atroces.

     


    Tu passes devant un arrêt d'autobus, isolé, où attendent trois personnes :
    1. Une dame âgée en sérieux danger de mort.

    2. Un vieil ami qui t'avait déjà sauvé la vie.
    3. La femme (ou l'homme) de tes rêves, ton partenaire idéal.

     

          

     

    Question : Tu ne pourrais prendre qu'un seul passager à bord, qui prendrais-tu ?

     

                                              

     


    Penses-y bien avant de continuer à lire…

      

    Ceci est un dilemme moral et éthique qui a été utilisé en entrevue de travail.


    Tu pourrais prendre la vieille dame,
    car elle est en danger de mort,
    et il serait logique d'essayer de la sauver en premier.


    Ou tu pourrais prendre ton vieil ami,
    puisqu'il t'a sauvé la vie,
    ce serait une bonne occasion
    de lui rendre un service à la hauteur.


    Cependant, tu ne rencontreras peut-être
    jamais le partenaire idéal…

     

    Penses-y bien avant de continuer à lire…

      

    La personne interviewée qui a été engagée
    (parmi 200 candidats) n'a pas hésité à donner sa réponse.
    J'adore cette réponse !

      

    Qu’est-ce qu’il a dit ?

     

    “Je donnerais les clés de la voiture à mon vieil ami,
    et je le laisserais prendre la vieille dame
    pour l'emmener à l'hôpital.

     

        


    Moi, je resterais là
    pour attendre l'autobus avec la femme de ma vie”.


      

    Il faut savoir surpasser les obstacles apparents
    Que nous donnent nos problèmes et apprendre à penser créativement.

      

     


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  • Le bol de bois

     

     

     

    Un vieil homme affaibli alla vivre chez son fils, sa bru et son petit-fils de quatre ans.
    Les mains du vieil homme tremblaient, sa vision était embrouillée et son pas chancelant.
    Ils mangeaient tous ensemble à la même table.
    Mais pour le vieux grand-père,manger était difficile à cause de ses mains tremblantes.
    Les pois glissaient de sa cuillère et roulaient sur le plancher.
    Quand il attrapait son verre de lait, il en reversait sur la nappe.

     

    Le fils et la bru devinrent de plus en plus impatient face à ces dégâts.
    Ils en avait assez du lait renversé, du bruit en mangeant, et de la nourriture sur le plancher.
    Alors le mari et sa femme placèrent une petite table dans un coin.
    Là le grand-père mangeait seul, alors que le reste de la famille dînaient ensemble.

     

    Comme le grand-père avait brisé une ou deux pièces de vaisselle
    sa nourriture lui était servie dans un bol de bois.
    Quand un membre de la famille jetait un coup d’œil dans la direction du grand-père
    assis seul dans son coin, il avait quelques fois des larmes au coin des yeux.
    Malgré cela, les seules paroles que le couple lui adressait étaient de durs reproches.
    l’enfant de quatre ans observait tout cela en silence.

     

    Un soir avant le souper, le père remarqua que son fils,
    assis sur le plancher, jouait avec des morceaux de bois.
    Il lui demanda gentiment : qu’est-ce que tu fabriques ?
    Tout aussi gentiment l’enfant répondit : oh, je fais un petit bol pour toi et maman
    pour que vous y mangiez votre nourriture quand je serai grand.
    L’enfant de quatre ans sourit et se remit à l’ouvrage.

     

    Ces paroles laissèrent les parents sans voix. Des larmes se mirent à couler sur leurs joues.
    Même si aucune parole ne fut prononcée, tous deux surent ce qu’il fallait faire.
    Le soir même le mari prit la main du grand père et gentiment le conduisit à la table familiale.
    Pour le reste de ses jours, il mangea tous ses repas avec la famille.
    Et pour une raison ou une autre, ni le mari ni sa femme
    ne semblaient préoccupés par une fourchette échappée, du lait renversé ou une nappe salie.

     

    Un tendre rappel : respect et compassion envers nos aînés.
    Ils ont été là pour nous, soyons là pour eux.
    Aimons-les comme ils nous ont aimés.

     

     

     


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  • Les Deux  Jarres et le Porteur D’eau

     

     

    Un porteur d'eau Indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.

     

    Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.

     

    "Je me sens coupable, j’ai honte et je te prie de m'excuser."  "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"  "Depuis 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau, je n'ai réussi à porter que la moitié de ma cargaison d'eau. Par ma faute, et malgré tous tes efforts, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée.

     

    Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et plein de compassion, répondit : "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je te demande de regarder les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, en montant la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.

     

    Le porteur d'eau dit à la jarre "Tu t'es rendu compte qu'il y avait de belles fleurs uniquement de ton côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? C’est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et chaque jour tu les as arrosées. Pendant 2 ans, j’ai pu grâce à toi, cueillir de magnifiques fleurs pour décorer la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et aussi gracieuses."

     

    Morale de l’histoire :

     

    Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

      

    Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous. Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.

    Merci d'apprécier amicalement les imperfections des autres et, plus important pour vous d'apprendre à aimer les vôtres ! "L'expérience n'est pas ce qui nous arrive. C'est ce que nous faisons de ce qui nous arrive".

     


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  • I Have a Dream

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    J'ai fait un rêve, qu'un jour, cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de sa croyance : "Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux."


    J'ai fait un rêve, qu'un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.


    J'ai fait un rêve, qu'un jour même l'état de Mississippi, un désert étouffant d'injustice et d'oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice.


    J'ai fait un rêve, que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère.
    J'ai fait un rêve aujourd'hui.


    J'ai fait un rêve, qu'un jour l'état de l'Alabama, dont le gouverneur actuel parle d'interposition et de nullification, sera transformé en un endroit où des petits enfants noires pourront prendre la main des petits enfants blancs et marcher ensemble comme frères et sœurs.
    J'ai fait un rêve aujourd'hui.


    J'ai fait un rêve, qu'un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne sera nivelée, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront faits droits, et la gloire du Seigneur sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble.
    Ceci est notre espoir.


    C'est avec cet espoir que je rentre au Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, nous révoltons pour la liberté ensemble, en sachant qu'un jour nous serons libres.


    Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, "Mon pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pèlerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse."


    Et si l'Amérique veut être une grande nation, ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes de l'état de New York. Que la liberté retentisse des hautes Alleghenies de la Pennsylvanie !


    Que la liberté retentisse des Rocheuses enneigées du Colorado ! Que la liberté retentisse des beaux sommets de la Californie !
    Mais pas que ça, que la liberté retentisse des Stone Mountains de la Géorgie ! Que la liberté retentisse des Lookout Mountains du Tennessee ! Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque taupinière du Mississippi ! Que la liberté retentisse !


    Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque état et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Dieu, Noirs et Blancs, Juifs et Gentils, Catholiques et Protestants, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir, "Enfin libres! Enfin libres ! Dieu Tout-Puissant, merci, nous sommes enfin libres !"


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